vendredi 16 décembre 2016

A LA POURSUITE DE L'EDITEUR PERDU !






J'ai écris en début d'année un roman que je qualifierais de roman d'aventure intitulé: FELIZIDAD, la vie recommencée. Celui-ci se déroule  en Colombie, pays  pour lequel, pour des  raisons toutes personnelles, j'ai beaucoup d'affection  et que j'ai eu l'occasion de visiter à deux reprises il y de longues années. 
Après l'avoir fait lire par plusieurs β-lecteurs, avoir rectifié quelques paragraphes, revu toute la fin de l'histoire, je me suis lancée dans la recherche d'un éditeur! Hé, hé! Chose normale me direz-vous. Cette nouvelle aventure a commencé en juin, j'en suis à ce jour à 15 envois. J'ai ciblé mes destinataires en essayant d'entrevoir les maisons susceptibles d'apprécier mon histoire. 
Deux maisons se sont montrées très vite  intéressées, l'une ne verra malheureusement jamais le jour, l'autre ne me satisfaisait pas, le contrat étant à mon humble avis peu engageant. Sur les treize restantes, 5 ont déjà décidé de ne pas donner suite. 

Aujourd'hui, je reçois le refus d'édition d'une grande Maison. Déçue? Non, j'ai suffisemment de bouteille maintenant pour ne pas me formaliser de ce genre de refus.  Consciente que je ne connais personne dans cette maison prestigieuse, je savais que la réponse ne pouvait être qu'identique à celle que j'ai reçu ce jour. Cependant, j'eusse aimé une petite remarque , un encouragement, que neni, tel n'est pas le cas! 

Alors, pourquoi ne pas envoyer ce manuscrit  à Edilivre comme mes autres romans? Je suis persuadée qu'il serait accepté. Mais au fond de moi, existe un petit feu qui brûle et qui me fait espérer que je pourrais prétendre à être acceptée dans une maison d'édition telle que l'on peut la définir. En gros, une vraie, quoi! 

FELIZIDAD est pour moi, le type de roman qui passe bien et qui, selon les remarques de mes β-lecteurs,est dynamique captivant et dépaysant... Est-ce là un critère suffisant pour qu'un manuscrit soit retenu? Je partageais encore hier, les propos d'un auteur  Cathy Bonidan ( Le parfum de l'Hellébore) récemment édité: Ce n’est pas parce qu’on est publié qu’on est le meilleur… ». 





Au milieu du Marathon de milliers d'auteurs je couche les mots sur l'écran de mon ordinateur en espérant parcourir la distance qui me sépare de la Maison qui aimera et choisira mon histoire. Chaque manuscrit est un galop d'essai, chaque fois que je pose le point final, je me dis que j'avance et que j'ai progressé dans ma façon d'écrire et de transcrire ce qui dort au fond de moi et qui ne demande qu'à prendre vie. 

Là, où moi je réfléchis encore à l'idée que mon histoire peut emballer, l'éditeur, lui, réfléchit à son investissement et le rapport d'un tel investissement. L'auteur est-il en phase avec l'éditeur? Pas sûr. 



L'aventure de FELIZIDA continue, le temps ne compte pas! 
Je continue à écrire, quoi qu'il arrive. 


Voilà, c'est chose faite, ESNEVAL Editions s'engage dans l'édition de ce roman pour mon plus grand plaisir. Cette maisonj correspond à mes attentes, proche, dynamique, constituée de personnes attentives et volontaires. 

vendredi 9 décembre 2016

SALON DU LIVRE DE PARIS PORTE DE VERSAILLES



 PORTE DE VERSAILLES version 2017! 



Je viens de recevoir cet email de la part de mon éditeur : 
Cher auteur,

Comme vous le savez, notre maison participera du 24 au 27 mars prochains au Salon du Livre de Paris, au Parc des Expositions de la Porte de Versailles et nous souhaiterions vous y inviter à venir dédicacer.

Votre séance de dédicaces a été fixée au lundi 27 mars de 10H à 12H.

Alors, dois-je me réjouir? Il me semble que oui, dans un premier temps. Dans la mesure où il y a quelques semaines, le même éditeur m'avait informé qu'il choisirait les auteurs en fonction de l'intérêt de l'oeuvre
d'une part et du nombre de ventes d'autre part.  Compte tenu du fait que nous sommes très nombreux en tant qu'auteurs chez Edilivre, alors oui, j'en tire une certaine satisfaction. Le bémol est que le créneau qui m'est réservé n'a rien de fantastique, le salon se déroule du 24 au 27 mars et je me retrouve invitée  le lundi matin de 10h à 12h00. Y a t'il du monde à cette heure là qui arpente les allées du salon du livre en sachant que celui-ci se terminera l'après-midi même? Bonne question. Je suppose que les ventes vont se faire en priorité durant le WE. 
Cependant, je me dis qu'il est quand même très flatteur de pouvoir annoncer que l'on va présenter ses romans au salon du Livre de Paris. Ce sera une expérience. Je pense que je vais donc accepter cette invitation, je vais tout de même tenter de voir si je ne peux pas y participer le WE. 
A suivre, donc!!!!!
D'autre part, il me semble qu'il y ait une petite erreur, le salon se déroule du 23 au 26 mars. 

https://www.livreparis.com/fr/Accueil/


mardi 29 novembre 2016

LES DEDICACES
 
 
 
 
Ce vendredi 2 décembre, je serai à la librairie Plein Ciel aux Docks Vauban du Havre qui me fait la gentillesse de m'accueillir pour la deuxième fois.
 
Depuis que je me suis lancée dans l'écriture, j'ai réussi à sortir un roman par an. Après des expériences plus ou moins heureuses avec des éditeurs qui incarnent davantage des sirènes nous susurrant de belles paroles dans les oreilles. Comme Ulysse j'aurais dû m'attacher au mât de mon embarcation pour ne pas succomber.
Peu importe maintenant, il s'agit d'histoires anciennes. je suis donc éditée chez Edilivre depuis 2014 maintenant. Là encore, la satisfaction n'est pas complètement au rendez-vous, mais cette maison que l'on nomme alternative, a un avantage, elle ne nous mène pas en bateau. Les contrats sont clairs et si on ne prend aucune option, l'édition du roman ne coûte aucun euro et aucun centime.
L'auteur sait depuis le départ qu'il ne bénéficiera d'aucune promotion pour son ouvrage. Passé le temps de la satisfaction de tenir dans ses mains, le livre, issu de nombreuses heures de travail, se pose le lourd problème de la diffusion.  Le mot DIFFUSION, on l'apprend bien vite est le nerf de la guerre. Un livre qui n'est pas diffusé ne se vend pas. Un livre qui n'est pas soutenu par des gens qui y croient ne se vend pas. Alors que faire?
 
Edilivre n'étant pas à proprement parlé un vrai éditeur, ici se situe le nœud. Nombre de libraires refusent systématiquement d'afficher dans leurs rayons votre "belle œuvre". La raison?
Il n'existe pas de stock chez Edilivre et les exemplaires non vendus ne sont pas repris.
Cependant, on arrive à se faire connaître dans son fief et on progresse tout doucement. C'est mon cas. J'arrive à obtenir des dédicaces dans deux librairies sur trois dans ma ville, à participer à des salons. Mais il faut faire preuve de persévérance, entretenir de bonnes relations avec les libraires, faire sa pub sur internet, se faire connaître des journalistes locaux.
J'ai commencé timidement, ayant presque honte de dire que j'avais écrit un roman, je me sens plus à l'aise aujourd'hui  et surtout je n'accepte plus n'importe quoi. Mes trois romans édités sont chez Edilivre, peut être les suivants n'y seront-ils pas, je ne le sais pas encore. J'ai refusé des contrats d'éditeurs peu fiables. Reste l'auto-édition que je n'ai pas encore tenté. Pourquoi pas?



mercredi 19 octobre 2016

Le Salon du livre de St Quay Portrieux en côte d'armor





QUAY DES PLUMES 
DIMANCHE 23 OCTOBRE

Pour la deuxième année consécutive, je suis invitée au salon du livre de St Quay Portrieux en Côte d'Armor Par Malika Boulais, elle même auteur. 
C'est avec un réel plaisir que je participe à ce salon car il résulte du travail et de la volonté de personnes soucieuses de faire bouger les lignes. La plupart des auteurs invités sont soit auto édités soit édités dans de petites maison d'éditions. 

Voici le lien: http://www.quaydesplumes.weebly.com
LA VERSION 2016: 

 Après une matinée frileuse, le soleil s'en était allé et la pluie avait pris sa place, Le salon des congrès n'était pas chauffé et il fallut attendre l'après-midi pour que les radiateurs se mettent à diffuser une chaleur agréable. 
Le salon de ST Quay a tout de même attiré du monde, les Bretons ne craignent pas la pluie et ils furent nombreux au rendez-vous pour le plus grand plaisir des auteurs. 








 samedi 22 octobre 


Demain, le salon Quay des plumes ouvrira ses portes pour une septième édition consacrée cette année à Dame Nature. Parmi les nombreux écrivains et maisons d'éditions qui seront présents, citons Serge Kergoat et Xavier Brosse, qui viennent de réaliser deux ouvrages consacrés aux oiseaux. Rachel Lagière fera une intervention sur le bar et les semences. À 14 h 30, l'auteur Michel Priziac viendra parler de ruralité, dans les années 50 à 60. Il sera aussi question du traitement des déchets, avec une animation d'Amelie Rebours. Enfin, une vingtaine d'éditeurs présenteront au public leur derniers ouvrages. De nombreuses dédicaces seront proposées. Gérard Chevalier présentera son dernier ouvrage « Miaou, bordel ! », qui a donné naissance à une série avec son héroïne Catia : une chatte qui tape à l'ordinateur et dont la mémoire est phénoménale. « Ron-ron, ça tourne ! », son dernier roman vient de sortir... Depuis son premier roman, du genre policier, inspiré par l'île de Batz, il enchaîne les écrits. Des romans qu'il sera donc possible de se procurer sur place : « L'ombre de la brume », un hommage aux monts d'Arrée, « La magie des nuages », « Vague scélérate », une histoire avec les services secrets en toile de fond, de Ouessant à Moscou. Côté jeunesse, un atelier destiné aux enfants sera animé par Renaud Marhic. Et pour ceux qui ont raté leur inscription à la bibliothèque, ils devraient pouvoir rencontrer les bénévoles sur place.

Pratique Quay des plumes, demain, au centre des congrès, de 10h à 12h et de 14h à 18h.
© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/saint-quay-portrieux/quay-des-plumes-une-journee-consacree-a-dame-nature-22-10-2016-11264826.php#kGOt2dC7pdftBdO7.99
  • image: http://www.letelegramme.fr/images/2016/10/22/gerard-chevalier-sera-l-un-des-nombreux-auteurs-presents_3140888_354x434p.jpg?v=1
    Quay des plumes.  Une journée consacrée à Dame Nature
  • L'organisatrice Malika Boulais 


  • Odile Marteau-Guernion était vendredi matin, aux Arcades de la rue Jeanne-d'Arc, pour dédicacer ses ouvrages dont le dernier « le Tigris dans l'oreille ». Tagarine d'adoption, Odile Marteau-Guernion passe son temps entre Étables et Le Havre (76). Elle vient de signer son troisième ouvrage.

    « Le Tigris dans l'oreille »


    Passionnée par les romans policiers, l'auteur y conte avec délice les aventures de sa détective favorite, Anna Le Goff, enquêtrice de choc, qui, fidèle à son instinct, ne lâche aucune piste jusqu'au dénouement de l'affaire. Avec « Le Tigris dans l'oreille », il est question de trois jeunes filles retrouvées noyées. Seul dénominateur commun entre ces trois victimes, on retrouve dans l'oreille de chacune d'entre elles, un tigris, sorte de petit coquillage caractéristique. On l'aura compris, Anne Le Goff va se lancer à la poursuite d'un maniaque avant qu'il ne fasse une quatrième victime. Un roman palpitant qui entraîne le lecteur à la poursuite d'aventures de bord de mer. L'auteur dédicacera aussi ses deux premiers romans policiers, intitulés « Derrière la dune » et « Valentino » où, là encore, on retrouve son héroïne Anne Le Goff sur les traces de dangereux criminels. De quoi se distraire pendant les vacances de la Toussaint.

    Pratique
    Toute la journée au salon Quay des Plumes. Centre des congrès. Bd du Littoral.
    © Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/saint-quay-portrieux/litterature-le-roman-policier-pour-cible-23-10-2016-11265874.php#CeQROBzAUKxleP7O.99

  • Odile Marteau-Guernion sera en dédicace toute la journée au salon Quay des Plumes au centre des congrès.








  • Quelques photos de l'événement 2015




    http://www.ouest-france.fr/salon-autant-apprecie-des-auteurs-que-du-public-3800910

    samedi 8 octobre 2016

    LE TIGRIS DANS L'OREILLE




    LE TIGRIS DANS L'OREILLE 

    ROMAN POLICIER 
    180 PAGES
    EDITIONS EDILIVRE
    16€ VERSION BROCHEE
    1,99€ VERSION NUMERIQUE


    Le Tigris dans l'oreille a été écrit sur une période d'un an, entre 2014 et 2015. J'avais entre temps écrit un thriller qui pour le moment n'est toujours pas édité, dont je vous parlerai plus tard. 
    En écrivant le Tigris, pour la première fois, je savais exactement comment j'allais mener mon histoire, j'en connaissais la fin. Ce n'était pas le cas pour les deux premiers romans. Avant de commencer à écrire, j'avais donc élaboré un plan, ciblé mes personnages, écrit les faits marquant les concernant même si cela n'apparaît pas dans le roman. De ce plan préalable est née mon histoire.

    Après avoir exploré la fin puis le début de la carrière d'Anna Le Goff, je la laisse maintenant évoluer dans une époque qui est la nôtre. On fait plus ample connaissance avec elle, c'est une femme de notre siècle, déterminée et pugnace avec ses failles et ses faiblesses. Elle veut assurer sur tous les plans, professionnellement et personnellement. 

    Ce roman a bénéficié de bétalecteurs ( Jean-Luc et Séverine, fidèles lecteurs) ainsi que du travail d'une correctrice. 

    La couverture a été réalisée par Laureline Guernion: http://www.laurelineguernion.com/

    SYNOPSIS: 

    Simon Blot et son équipage ne s’attendaient pas ce matin là, à découvrir le corps d’une jeune gothique noyée au fond de leurs filets. Tout porte à croire que la jeune fille a voulu mettre fin à ses jours. L’inspecteur Anna Le Goff, incrédule, refuse de se fier aux apparences. Accompagnée de son équipe et contre l’avis de ses supérieurs, elle met tout en œuvre pour lever le doute au risque d’y perdre la vie. 
    Son enquête la mènera jusqu'au Havre à la poursuite d'un homme plus que suspect, est-il pour autant le coupable? 

    EXTRAIT: 


    "Anna se rendait compte à quel point un secret pouvait peser lourd dans la vie d’un enfant lorsqu’il était tu aussi longtemps. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi son père avait attendu avant de lui dire mais se sentait tout de même soulagée. Un poids énorme s’en était allé, la libérant psychiquement. Le tableau familial s’était éclairci et Anna put enfin regarder la femme de son père de façon différente et l’appeler maman sans difficulté. Car aussi loin que ses souvenirs l’emmenaient, elle ressentait une gêne inexpliquée jusqu’au moment où son père avait enfin laissé aller son malheur. Parce qu’il s’agissait bien de cela : le malheur. La détresse qu’il portait en lui et dont il n’arrivait pas à se remettre, le deuil qu’il n’avait finalement pas réussi à faire. Comme il avait dû aimer cette femme qui avait laissé filer sa vie si tragiquement ! "

    CHRONIQUES ET AVIS:


    Des Livres Et Moi @DesLivresEtMoi7 ·


    Une formidable découverte
    L'auteur nous entraîne ici au cœur d'une enquête bretonne rondement menée et particulièrement bien ficelée. Le suspens est brillamment maintenu tout au long du roman, l'auteur disséminant avec talent autant de fausses pistes que d'indices tout au long du récit. Quoiqu'un peu brusque, le dénouement n'en reste pas moins particulièrement réussi.
    Les personnages ne sont pas en reste: particulièrement fouillés et bien construits, l'auteur su apporter une véritable consistance à nos enquêteurs en les dotant d'une véritable vie personnelle très réaliste, ce qui les rend d'autant plus attachants.
    Les sublimes descriptions ajoutées à la très agréable plume de l'auteur contribuent également à l'énorme plaisir que l'on prend à lire ce livre.


    En bref, un polar très réussi! Il me tarde de découvrir d'autres aventures d'Anna Le Goff!

    Sylvie Grignon:  Venant de finir ce roman policier d'Odile Marteau, je tenais à donner mon avis. Le style de l'auteure est en net progression et j'ai vraiment aimé la transformation matité dirais-je de l'inspectrice Anna Le Goff. On se sent soudain plus proche d'elle comme si c'était une amie de longue date que l'on retrouvait. J'ai également apprécié cette intrigue située dans la région du Havre et ses descriptions qui nous font voyager. Un polar classique comme on dit, qui attrape le lecteur jusqu'à la fin. On ferme le livre en se disant qu'Anna Le Goff ne nous quitte que pour quelques mois et qu'elle reviendra certainement très vite, si la plume de l'auteure continue à la faire vivre.

    L’Ami des auteurs : Après Derrière la dune et Valentino, Odile Marteau Guernion publie chez Edilivre un troisième polar, avec aux commandes son personnage fétiche, la policière Anna Le Goff.On retrouve dans ce polar quelques uns des ingrédients chers à Odile Marteau Guernion, la mer et les côtes bretonnes. C’est d’ailleurs par la découverte d’un corps remonté par des marins-pêcheurs que débute cette nouvelle intrigue.La couverture de ce troisième volet des aventures d’Anna Le Goff est très alléchante, et bien plus évocatrice, me semble-t-il, que les couvertures des deux premiers. Pour ce qui est du contenu, à vous de le découvrir !

    Josy Pierrot fidèle lectrice des aventures d'Anna Le Goff, son commentaire ci dessous : Bonjour Odile. Ayant reçu le Tigris dans l'oreille, je te dis bravo pour ce roman, à peine commencé que j'ai parcouru d'une traite cette nouvelle histoire d'Anna tellement j'ai été prise par l'intrigue. Un grand merci pour ce bon moment passé en ta "compagnie"...... Vite un autre roman. Bonne inspiration.

    Patricia Duterne :
     J'ai dévoré "le tigris dans l'oreille" de Marteau Guernion Odile. J'y ai retrouvé cette atmosphère bretonne que j'`avais tant aimée dans " Derrière la dune". Tout est au rendez-vous pour vous tenir en halène jusqu'au bout. L'écriture et le personnage d'Anna gagnent en profondeur. J'ai ADORÉ!

    Virginie Vanos :
    Je viens de lire d'une traite ce polar où dès le second chapitre, l'intrigue se noue et se dénoue, pour mieux se compliquer ensuite. Le lecteur s'y perd, se confond en hypothèse et se laisse entraîner dans un récit où rien n'est tout blanc, rien n'est tout noir, où les apparences sont trompeuses, où les suicidées sont des princesses assassinées, où les plus flagrants suspects ne sont que des témoins de moralité et où la culpabilité se cache sous le plus séduisant des aspects....
    A recommander sans nul doute... et à ne pas lire seul un soir d'orage dans une chambre de motel près de la mer, tant les frissons sont garantis!

    Marie-Ange : 24/06/16
    J’ai passé un bon moment de lecture durant un séjour dans les Landes.
    Bonne suite pour l’inspiration !
    Amicalement,

    Mag Ali : 25/06/16
    Bonjour Odile, je viens d'achever le Tigris. Un roman qui m'a tenu en haleine de bout en bout, des rebondissements, un peu de votre Bretagne et de ma Normandie ... Tous les ingrédients étaient au rendez-vous de ce bon polar que j'ai dévoré ! Vivement le prochain À bientôt

    Simone G : 28/06/16
    Bravo pour le Tigris !
    Michèle S : 29/06/16
    Un petit SMS d'une amie ce matin: " Mille mercis pour le Tigris dans l'oreille qui a rendu mon vol plus que rapide. J'ai adoré, le texte est fluide et l'intrigue captivante ».

    MARYLINE MARNAS: http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/le-tigris-dans-l-oreille-a126987062

    Un polar comme je les aime! Simple mais efficace!
    • C'est le troisième roman de l'auteur consacré aux aventures de l'inspecteur Anna Le Goff et j'avais peur de me perdre n'ayant pas lu les deux premiers. Mais pas du tout! Je pense tout de même les lire pour connaitre un peu mieux le passé de l'inspecteur et comprendre sa personnalité. L'auteur rappelle au début quelques détails et faits des premiers tomes, ce qui permet de rentrer dans le vif du sujet rapidement.
      J'ai beaucoup aimé cette jeune femme, elle parait fragile mais aime son boulot et mène l’enquête d'une main de maître avec l'aide de ses collaborateurs. Ils ont chacun leur personnalité, toutes différentes, ce qui donne du rythme à l'histoire grâce à leurs interventions.
      L'histoire en elle-même est assez intéressante, des événements passés qui aident à la reconstitution des faits, des coupables tout trouvés... Mais pas si facilement que cela. Une équipe de choc qui ne baissera pas les bras devant les difficultés rencontrées.
      Merci à l'auteur pour sa confiance, je suis heureuse d'avoir découvert son univers qui me plait beaucoup. Une écriture simple, sans trop de détails encombrants, j'aime la rapidité des mots, des faits et la manière de mener au final surprenant...


    LIAMADE sur Babelio: 
    23 mai 2016
    Je ne connaissais pas du tout et je ne regrette aucunement cette découverte! Un polar dont on imagine sans peine les scènes , comme dans une série télévisée. L'écriture est fluide, facile à lire au point qu'on ne voit pas les pages défiler pendant la lecture, pleines de rebondissements, des fausses pistes qui entrent pile aux moments opportun , sans pour autant nous perdre dans l'histoire. Les indices sont parlants, l'état émotionnel des différents protagonistes sont bien décrit, l'intrigue ne perd pas d'intérêt pendant l'enquête. J'ai adoré le personnage de Anna le Goff, dont on suit sans problèmes ses raisonnements pour conclure l'enquête. On voit la qualité du travail qui a été fait on remarque d'entrée quel'auteur maitrise son sujet , la recherche est approfondie tant sur la psychologie que sur les méthodes d'enquêtes.  

    FRANCISCO LOZANO SUR BABELIO

    J'ai lu le roman « le Tigris dans l'oreille » d'Odile Marteau Guernon d'une traite. J'ai apprécié la qualité de son intrigue et la profondeur psychologique de ses héros avec en premier lieu l'inspectrice Anna le Goff. A la lecture du roman on se rend compte que l'auteur s'est soigneusement documentée, d'ailleurs une bibliographie à la fin du livre en atteste. C'est un roman policier d'un grand classicisme ce qui sous ma plume est un compliment.
    Le roman s'inscrit dans une géographie qui lui donne une partie de sa saveur, les relations qui s'établissent entre les personnages et les méandres d'une intrigue bien ficelée font le reste. Comme pour Sylvie Grignon le style est plaisant, l'écriture sans afféterie entièrement au service du récit. Je trouve ce roman très visuel ce qui pour moi, qui visualise les scènes avant de les écrire, est une qualité que j'apprécie. J'imagine très bien ce qu'un réalisateur de série télé pourrait en faire, entre les plages des Côtes d'Armor et l'architecture si particulière de la ville du Havre.
    En résumé un très bon polar, avec Sylvie et Odile Edilivre publie des « reines du crime » à la française qui n'ont rien à envier aux auteurs d'outre Manche.

    SUR AMAZON: 

    Dans ce troisième volet des enquêtes de l'inspecteur Le Goff, on est rapidement embarqué par l'histoire. L'enquête est menée avec efficacité, les paysages bretons toujours aussi beau. La fin est inattendue. Bon roman à lire sur la plage!

    ISABELLE ESQURIAL:

    Je viens de lire "Derrière la dune" d'Odile Marteau Guernion et j'ai été séduite par l'écriture alerte de l'auteur. J'ai immédiatement été prise par l'intrigue jusqu'à ne plus pouvoir lâcher la lecture avant d'arriver à la dernière page. La psychologie des personnages, notamment celle de l'inspecteur Anna Le Goff, apporte une dimension supplémentaire. Je vous recommande vivement la lecture de ce roman policier.

    STEPHANIE COUTURIER:

     Le style est excellent, les personnages sont très bien construits, l'intrigue est pleine de suspense et de rebondissements. Un régal !

    VERONIQUE BAVILLE: 

      livre commencé et fini ce week-end: intrigue bien menée, personnages attachants dont l'inspecteur Anna Le Goff et paysages bretons et normands agréablement décrits... un livre à lire.(bravo Odile, j'attends le prochain....). photo de l'île de la comtesse et de la dernière rose de mon jardin..... j'allais la regarder et la sentir entre quelques chapitres......
      FABRICE LAVENU: 

      J'ai passé un agréable moment durant la lecture de votre livre "Le tigris dans l'oreille". Le personnage d'Anna Le Goff est attachant, bonne flic mais femme avant tout. L'énigme tient en haleine avec ses rebondissements qui vous font tourner les pages pour en savoir plus jusqu'à sa solution bien amenée. C'est un roman policier alerte, avec des personnages secondaires qui tiennent leur place où il est bien symapthique de passer de la Bretagne à la Normandie. 

      Je vous souhaite beaucoup de ventes et de réussite pour la suite de vos écrits et je ne manquerai pas de me procurer les deux premiers volumes des enquêtes d'Anna Le Goff.
      A une prochaine fois. 
      Cordialement.


      EXTRAIT:


    "Le lieu de pêche fut rapidement atteint et le chalut commença à descendre doucement dans l’eau. C’était parti pour trois heures de pêche, Simon avait réglé la vitesse entre 2 et 4 nœuds. Vers onze heures la poche fut élinguée puis levée, et le nœud de raban qui ferme le cul du chalut fut défait d’une main experte par Pierrick. Les soles, les merlus et les daurades frétillant encore furent triés par l’équipage et rapidement stockés dans les bacs puis couverts de glace. Le chalut fut remouillé pour un deuxième passage. Le temps que le chalut traîne au fond de l’eau, l’équipage se servit un petit café accompagné de cassecroutes d’une taille raisonnable pour ces jeunes estomacs affamés. 



    La fin de la journée approchait et le filet fut de nouveau remonté, mais il était, cette fois-ci, particulièrement lourd et le moteur qui actionnait la roue peinait légèrement. Dunven le surveillait d’un œil attentif et l’écoutait grincer. Après quelques plaisanteries sur le contenu éventuel, le silence était revenu sur le bateau et chacun était tendu lorsque le filet lâcha sa cargaison sur le plancher arrière. – Nom de Dieu ! s’écria Dunven. – Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ? hurla Simon depuis l’avant du bateau. – Venez capitaine, vite… oh, merde ! 
    L’équipage au complet entourait le filet éventré, au milieu des poissons, gisait le corps d’une jeune fille."

    LA PRESSE:

    logo_Courrier-Cauchois_2016_Edilivre






    article_Le_Courrier_Cauchois_Odile_Marteau_Guernion_2016_Edilivre










    PARIS NORMANDIE

     Odile Marteau-Guernion, auteur de romans à suspense, vient de publier son dernier ouvrage « Le Tigris dans l’oreille ».





















    À la retraite depuis janvier, Odile Marteau-Guernion, ex-cadre supérieur de santé, s’est senti pousser des ailes d’auteur de romans à suspense, sa passion depuis ses 10 ans.
    Le Tigris dans l’oreille est son troisième roman à suspense, après Valentino et Derrière la dune aux éditions Edilivres où évolue son personnage fétiche Anna Le Goff, une enquêtrice bretonne à l’esprit curieux qui ne s’arrête pas aux évidences, qui sait se libérer des a priori. « Mon héroïne est volontaire, c’est une battante, elle a un idéal de réussite et place la barre très haut. Elle n’est pas dans la séduction mais peut aussi s’en servir, c’est une professionnelle porteuse de valeurs », précise l’auteur qui verrait bien l’actrice Mathilde Seigner incarner le personnage. Anna Le Goff enquête sur la noyade « supposée » de trois jeunes femmes gothiques. Nichée dans sa belle campagne gonfrevillaise, Odile Marteau-Guernion a d’autres projets littéraires en cours, mais cette fois il s’agit d’une commande d’un éditeur, un autre challenge. Par ailleurs, une de ses nouvelles a gagné un concours pour la Saint-Valentin et devrait être bientôt éditée dans un recueil collectif avec sept autres auteurs.
    Odile Marteau-Guernion sera en dédicace à la Fnac du Havre (Espace Coty) le 21 mai à 14 h et le 24 mai à 18 h 30 à la médiathèque de Gonfreville-l’Orcher dans le cadre de « Des livres et vous ».

    Odile Marteau-Guernion, Gonfrevillaise, écrit des romans à suspense

      FNAC DU HAVRE 









    La romancière Odile Marteau-Guernion en dédicace


    • Odile Marteau-Guernion dédicace son dernier roman, à la Maison de la Presse
      Odile Marteau-Guernion dédicace son dernier roman, à la Maison de la Presse | 
    Odile est passionnée de lecture et d'écriture depuis sa plus tendre enfance. Il y a dix ans, lorsque son deuxième enfant a quitté le nid familial, elle a décidé de se lancer dans l'écriture. De cette passion, sont nés trois romans, Valentino, Derrière la dune, et Le Tigris dans l'oreille, le dernier d'une saga dont l'inspecteur de police, Anna Le Goff, campe le personnage central.
    Dans ce dernier roman Marteau-Guernion, l'inspecteur Le Goff mène l'enquête dans le milieu gothique sur la mort mystérieuse de jeunes femmes retrouvées noyées au large des îles Saint-Quay.

    Lors d'un excellent WE dans la Sarthe



    Dédicace du 25 septembre 2016: http://saintquayportrieux.fr/events/event/les-bouquinoceens/

    Radio Alpes Mancelles en ligne: http://ram1983.jimdo.com/au-bout-de-la-plume/


    Rendez-vous le 23 Octobre: http://www.quaydesplumes.weebly.com

    UN PETIT QUIZ: 
    Vous voulez jouer ? rendez-vous pour un Quiz sur Babelio
    http://www.babelio.com/…/Quiz-sur-le-livre-Le-tigris-dans-l…
    Merci à l'auteur de ce quiz Manue 14

    EXTRAIT: 

    " Les oies Bernaches se rassemblaient au bord de l’eau, elles se laissaient flotter et bringuebaler par les vagues mais jamais ne heurtaient les rochers. Allaient-elles déjà partir ? Il était bien tôt. Anna, assise sur le sable regardait ce spectacle qui lui apportait le calme dont elle avait besoin. Le temps n’était pas fameux et la plage du Moulin était peu fréquentée en ce jour d’été. Ses pensées vagabondaient d’un sujet à l’autre, puis, le visage d’Estelle Jourdaine fit son apparition entre les vagues. Anna secoua la tête machinalement comme pour chasser cette vision affreuse. À quoi pouvait bien penser une gamine de seize ans pour préférer se plonger dans les eaux froides plutôt que de mordre la vie à pleines dents ? Qu’est-ce qui clochait pour qu’elle prenne une telle décision ?"


    Quand les chroniqueurs aiment: 

    https://lesavisdegeorges.blogspot.fr/2016/12/le-tigris-dans-loreille-de-odile.html?m=1

    Le tigris dans l'oreille De Odile Marteau Guernion


    Edilivre

    Je remercie Odile Marteau Guernion pour ce service presse. Le titre m'intrigue déja donc passons directement à 

    Mon premier ressenti :
    Une couverture très intrigante et mystérieuse. Ce noir et blanc est superbe.
    Pas ou peu d'indice sur l'histoire qu'il va nous être conté juste cettre croix, il y aura peut-être un lien avec l'Eglise pour le savoir place

    Au résumé :
    " Simon Blot et son équipage ne s'attendaient pas, ce matin là, à découvrir le corps d'une jeune gothique noyée au fond de leurs filets. Tout porte à croire que la jeune fille a voulu mettre fin à ses jours...L'inspecteur Anna Le Goff, incrédule, refuse de se fier aux apparences. Accompagnée de son équipe et contre l'avis de ses supérieurs, elle met tout en œuvre pour lever le doute, au risque d'y perdre la vie... "
    Je me suis carrémént trompé là. Je n'ai plus qu'une envie le découvrir, passons de suite à

    Mon avis :
    Un polar qui porte bien son nom. J'ai adoré faire la connaissance de cet inspecteur Le Goff et de sa clique que je ne connaissais pas et qui pourtant avait déjà sévit dans deux autres enquêtes précédemment et toujours sur la plume d'Odile Marteau Guernion, plume que j'ai trouvé très fluide et dynamique, j'ai lu ce roman d'une traite. Son intrigue tiens extrêmement bien la route. Et que dire de la description quasi-précise de ces paysages de Normandie et de Bretagne, un dépaysement totale pour moi.
    Comme je le disais, il s'agit du troisième roman qui met en scène l'inspecteur Le Goff et j'ai beaucoup aimé que l'auteure pense à nous qui arrivons comme ça en plein milieu d'une série, elle nous laisse quelques indications sur les précédents tomes. Que dire de cette enquête difficile et pourtant menées tambour battant. Une équipe qui sait prendre les bonnes décisions au bon moment. J'ai adoré la fin, oui une fin imprévisible comme j'aime.
    Amateur de polar, de suspense, n'hésitez pas et venez découvrir l'univers d'Omg. Pour tous les autres, vous êtes invités également.

    Françoise Sabard

    J'ai retrouvé Anna Le Goff avec plaisir dans "Le tigris dans l'oreille" qui est un vrai petit bijou de polar, abouti, qui se lit d'une traite. J'ai toujours un peu de mal avec les romans policiers mais le style dynamique d'Odile et l'intrigue bien ficelée m'ont enchantée.

    Bonjour à tous,
    Je voudrais vous parler du dernier roman de Marteau Guernion Odile, « Le tigris dans l'oreille ». Pour vous dire d'emblée que j'ai beaucoup aim...é ce petit polar, qui a quelque chose d'addictif et se lit avec un grand plaisir, sans qu'on ait jamais envie de le lâcher.
    Vous vous souvenez des Simenon d'autrefois ? En lisant Le tigris dans l'oreille, j'ai retrouvé quelque chose de ce plaisir de lecture, autour d'une trame à la fois simple et très solide, fort bien menée. Les personnages principaux et secondaires sont tous très bien dépeints, et on se laisse embarquer par l'auteure pour les suivre sur les routes et les paysages de Bretagne, décrits magnifiquement et de manière très visuelle. L'auteure sait aussi parfaitement recréer les ambiances et vous êtes véritablement en Bretagne.
    L'intrigue est classique : Indirectement concernée par plusieurs décès accidentels d'adolescentes appartenant à la mouvance gothique, - son fils pourrait-il y être mêlé ? -, Anna Le Goff, inspecteur de police, décide de creuser la question. Elle est perplexe quant à la possibilité qu'il s'agisse de simples suicides et l'enquête qu'elle va conduire l'amènera sur des pistes qu'elle n'aurait jamais envisagées, et le lecteur non plus, qui n'est pas déçu par le dénouement.
    Vous aurez compris que je vous recommande chaleureusement ce roman, publié chez Edilivre. Bonne lecture, vous ne le regretterez pas !
    Alain Delmas Auteur



    DSC_4123 final mini